Marché
CRRH.O10 100 0 % EOM.O10 100 0 % EOM.O11 100 0 % EOM.O12 100 0 % EOM.O9 100 0 % EOS.O10 100 0 % EOS.O11 100 0 % EOS.O12 100 0 % EOS.O13 100 0 % EOS.O14 100 0 % EOS.O8 100 0 % EOS.O9 97 0 % FBOAD.O1 100 0 % PTRC.O1 100 0 % TPBF.O16 100 0 % TPBJ.O7 100.01 0 % TPBJ.O8 100 0 % TPCI.O77 100 0 % TPCI.O78 97 0 % TPCI.O79 99.92 0 % TPCI.O80 100 0 % BIDC.O7 100 0 % EOM.O8 100 0 % FORBT.O1 107 0 % FTIMC.O1 107 0 % ORGT.O2 106 0 % TPBF.O13 100 0 % TPBF.O14 101 0 % TPBF.O15 99 0 % TPBJ.O4 100 0 % TPBJ.O5 99.99 0 % TPBJ.O6 106 0 % TPCI.O62 100 0 % TPCI.O63 100 0 % TPCI.O64 101.8 0 % TPCI.O65 107 0 % TPCI.O66 99.5 0 % TPCI.O67 102 0 % TPCI.O68 100 0 % TPCI.O69 100 0 % TPCI.O70 101 0 % TPCI.O71 101.5 0 % TPCI.O72 95 0 % TPCI.O73 100 0 % TPCI.O74 100 0 % TPCI.O75 107 0 % TPCI.O76 100 0 % TPNE.O4 100 0 % TPNE.O5 100 0 % TPNE.O6 100 0 % TPTG.O2 100 0 % BIDC.O5 100 0 % BIDC.O6 100 0 % EOM.O5 100 0 % EOM.O6 100 0 % EOM.O7 100 0 % FNSBC.O1 105 0 % PADS.O3 103.5 0 % SNTS.O2 100 0 % TPBF.O11 100 0 % TPBF.O12 100 0 % TPBJ.O3 100 0 % TPCI.O42 100 0 % TPCI.O43 100 0 % TPCI.O44 96.2 0 % TPCI.O45 100 0 % TPCI.O46 102 0 % TPCI.O47 102.5 0 % TPCI.O48 99 0 % TPCI.O49 100.85 0 % TPCI.O50 100 0 % TPCI.O51 100 0 % TPCI.O52 103 0 % TPCI.O53 106 0 % TPCI.O54 100 0 % TPCI.O55 105 0 % TPCI.O56 108 0 % TPCI.O57 96 0 % TPCI.O58 100 0 % TPCI.O59 103.5 0 % TPCI.O60 100 0 % TPCI.O61 100.5 0 % TPNE.O3 100 0 % BHSN.O1 98 0 % BIDC.O4 100 0 % CRRH.O7 100 0 % CRRH.O8 100 0 % CRRH.O9 100 0 % EOM.O2 100 0 % EOM.O3 100 0 % EOM.O4 100 0 % SNLC.O1 100 0 % TPBF.O10 101 0 % TPBF.O4 100 0 % TPBF.O5 100 0 % TPBF.O6 100 -4.76 % TPBF.O7 99 0 % TPBF.O8 100 0 % TPBF.O9 99.95 0 % TPCI.O25 97 0 % TPCI.O26 100 0 % TPCI.O27 102.5 0 % TPCI.O28 100 0 % TPCI.O29 100 0 % TPCI.O30 100 0 % TPCI.O31 102.3 0 % TPCI.O32 100 0 % TPCI.O33 104 0 % TPCI.O34 100 0 % TPCI.O35 102.5 0 % TPCI.O36 100 0 % TPCI.O37 100 0 % TPCI.O38 100 0 % TPCI.O39 107 0 % TPCI.O40 98 0 % TPCI.O41 100 0 % TPNE.O1 100 0 % TPNE.O2 100 0 % BOAM 1400 0 % BOAS 3000 0 % CBIBF 8600 -1.15 % CRRH.O2 98 0 % CRRH.O4 100 0 % CRRH.O5 100 0 % CRRH.O6 102.3 0 % ECOC 7000 1.45 % EOS.O7 100 0 % NSBC 5785 -0.26 % ORAC 10700 -0.93 % ORGT 2620 7.38 % SCRC 495 0 % SIBC 5325 0.47 % SPHC 1990 -0.5 % STAC 900 0 % STBC 6100 -1.61 % SUKSN.S2 107.5 0 % SUKTG.S1 100 0 % SVOC 2395 0 % TPCI.O17 100 0 % TPCI.O19 100 0 % TPCI.O21 100 0 % TPCI.O22 97 0 % TPCI.O23 96.5 0 % TPCI.O24 99.8 0 % TTLC 1770 -0.56 % TTLS 2350 -2.08 % UNLC 5000 0 % UNXC 610 -0.81 % BICC 6900 -0.43 % BNBC 1030 0.98 % BOAB 6495 -0.08 % BOABF 7000 1.74 % BOAC 6990 0.65 % BOAN 5700 5.56 % CABC 1075 -0.46 % CFAC 850 0.59 % CIEC 1850 -2.63 % ETIT 18 0 % FTSC 1740 -0.29 % NEIC 615 0 % NTLC 7785 2.03 % ONTBF 2200 0.92 % PALC 6500 0 % PRSC 1695 0 % SAFC 1240 5.08 % SDCC 4785 -0.31 % SDSC 1490 -0.67 % SEMC 805 4.55 % SGBC 16000 -1.84 % SHEC 810 -2.41 % SICC 3580 -0.56 % SIVC 790 -3.66 % SLBC 89990 0 % SMBC 9800 0 % SNTS 17100 -0.58 % SOGC 2790 -0.18 % ABJC 1290 6.61 % CRRH.O3 100 0 % EOM.O1 0 0 % EOS.O5 0 0 % SUKCI.S2 108 0 % TPCI.O20 0 0 % TTRC 0 0 % CRRH.O1 0 0 %

Entretien avec Isaac MBAYE, DG de Invictus Capital & Finance sur le franc succès de l’emprunt obligataire de l’Etat sénégalais

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Pouvez-vous nous présenter la SGI Invictus Capital & Finance

Invictus Capital & Finance ou ICF est une jeune société de gestion et d’intermédiation, agréée par l’AMF-UMOA et ayant son siège à Dakar. Elle a moins de 5 ans d’existence, ce qui peut en étonner plus d’un au regard de notre trackrecord. Elle appartient à une holding financière portée par Monsieur El Hadji Mbacké FALL, ancien banquier d’affaires avec plus de 25 ans d’expérience sur les marchés internationaux. Au sein de cette holding, nous avons une société-sœur KF Titrisation, une Société de Gestion de Fonds Commun de Titrisation de Créances, agréée par l’AMF-UMOA et lancée en novembre 2021. Cette brève présentation d’ICF, laisse apparaitre notre dynamique d’évolution dans un marché qui est en perpétuelle mutation, nous le comprenons bien et mesurons tous les enjeux.


Notre équipe est jeune, dynamique, formée par des collaborateurs compétents ayant capitalisés des années d’expérience au sein de Sociétés de Gestion et d’Intermédiation, de banques, de cabinets de conseils, de compagnies d’assurance, dans la zone UEMOA et à l’international. Elle dispose d’une forte expérience combinée sur les métiers du conseil et de la finance. J’ai eu le privilège d’être coopté pour diriger ICF, après mon parcours de banquier spécialisé dans les grandes entreprises et le financement structuré. Quels sont vos facteurs clés de succès La persévérance, l’éthique, et l’esprit d’équipe sont autant de choses qui nous caractérisent et qui rassurent nos clients tant investisseurs qu’émetteurs. Notre métier est basé sur la confiance et nous nous assurons de la renforcer chaque jour.


Notre métier est basé sur la confiance et nous nous assurons de la renforcer chaque jour.


Notre base d’investisseurs est très solide et nous mettons un point d’honneur à nous surpasser continuellement afin de trouver des solutions adaptées pour chaque investisseur et émetteur. Il en ressort un croisement entre les intérêts de nos différents clients garantissant le succès de nos transactions et le renforcement de notre image tant à l’échelle régionale qu’à l’échelle internationale. Pour la petite histoire, notre première opération pour le Port Autonome de Dakar a été un franc succès avec une collecte de 94 milliards FCFA contre 60 milliards initialement recherchés. Cette opération a d’ailleurs été primée au Bonds & Loans Africa AWARDS en 2022 comme la transaction obligataire phare en devise locale des années 2020 et 2021.


Après ce succès, vous êtes revenu rapidement au-devant de la scène avec l’opération de l’Etat du Sénégal, n’avez-vous pas appréhender la situation économique actuelle ?

 

Ce n’est pas le genre de la maison, si je peux m’exprimer ainsi. Nous avons pris en compte tous les facteurs de risque ainsi que les potentielles évolutions sur le marché avec la nouvelle politique monétaire de la BCEAO. Il en est ressorti une nouvelle structuration avec la répartition de l’émission obligataire en trois tranches avec des maturités et des taux adaptés à chaque catégorie d’investisseurs. Comme mentionné plus tôt, notre métier est d’arranger et de conseiller avant de procéder au placement. Nous savions dès le départ que les principaux investisseurs, en l’occurrence les banques, auraient des contraintes avec la nouvelle politique monétaire pour participer à cette opération. On parle des investisseurs historiques qui représentent 90% des souscriptions aux émissions souveraines. Il nous fallait revoir et modifier la cartographie des investisseurs grâce à beaucoup de recherches et de sensibilisation envers les investisseurs potentiels.


Nous avons conçu une structuration qui répondait aux attentes des investisseurs cibles tout en s’alignant aux attentes du client…

 

Le challenge est dans notre ADN et le résultat a été à la hauteur de nos attentes, avec une structuration qui répondait aux attentes des investisseurs cibles tout en s’alignant aux attentes du client, pour qui nous avons l’obligation de préserver ses intérêts. Aussi, il faut dire que l’Etat du Sénégal est un émetteur de référence qui a fini de prouver la qualité de sa signature dans notre marché comme à l’international, mais aussi qui présente de bonnes perspectives de développement, la réussite de cette opération en est une parfaite preuve.


Comment avez-vous vécu le placement de cet emprunt obligataire dans le contexte actuel du marché ?


Très bien, nous avons démarché plusieurs investisseurs qui sont convaincus de la qualité de l’émetteur et pour lesquels la structuration était très adaptée du fait des
durations et rendements proposés sur chaque tranche. Les autorités ont été très sensibles à notre analyse du marché ainsi qu’à notre proposition. Cela a eu pour effet de garantir le succès de cette opération dans un contexte extrêmement difficile. Pour info, nous venions juste de clôturer un placement privé pour un de nos clients et la semaine qui a suivi nous lancions l’Appel Public à l’Epargne de l’Etat du Sénégal. Il faut dire que nous avons eu un premier trimestre très rythmé, mais que notre
équipe a su piloter avec brio.

En tant que jeune SGI, vous avez structuré deux Appels Publics à l’Epargne en l’espace de 3 ans pour plus de 260 Milliards FCFA. Quelle est la suite ?

 

Deux APE, un placement privé et plusieurs transactions hors marché, sans oublier nos activités courantes de trading et conservation avec le lancement de la gestion sous mandat pour nos clients. Notre approche est systématiquement orientée résultat avec des sourcings de transactions en continu et des structurations différentes pour chaque client émetteur. En résumé, nous vous recommandons de rester connecté et de suivre avec la plus grande attention notre SGI.


Maintenant focus sur vous Monsieur Isaac MBAYE, avez-vous ressenti une grande différence entre la banque et la SGI ?

 

Une très grande. Vous ne mesurer même pas à quel point. Je suis venu dans un environnement nouveau pour moi avec un rythme soutenu, mais j’ai eu la chance d’avoir une équipe de qualité qui a facilité mon insertion et continue chaque jour à renforcer mes compétences pour répondre au mieux aux attentes de nos clients mais également de mes collaborateurs en termes de management. En réalité, mes anciennes fonctions étaient orientées structuration et l’insertion a été facile une fois les points de convergence trouvés, ce qui a été assez rapide avec le soutien du Conseil d’Administration ainsi que de toute l’équipe de Invictus Capital & Finance. J’en profite pour les remercier et les encourager.

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